La
ficelle
Lecture
méthodique
Passage : « On finissait l café (…)
Il en fut malade toute la nuit. »
I-
Situation du passage :
Après le marché, les paysans se réunissent chez Maitre
Jourdain pour déjeuner. Soudain, le crieur public annonça la perte du portefeuille
de Maitre Houlbrèque, promettant une récompense à celui qui le restituerait.
Cette nouvelle anima la discussion des aubergistes quand le brigadier
interpella Maitre Hauchecorne.
II-
Les axes de lecture :
A- L’interpellation
de Maitre Hauchecorne :
Q : Comment se fait l’interpellation de Maitre
Hauchecorne ?
R : Elle se fait
devant tout le monde et de façon officielle.
Q : Qui vient chercher Maitre Hauchecorne et pour
quelle raison ?
R : Le brigadier
vient le chercher car il est la seule personne considérée comme suspecte.
Q : Quelle fut la réaction de Maitre Hauchecorne ?
R : Il fut surpris et inquiet.
Q : Quelle explication peut-on donner à ce sentiment ?
R : On peut expliquer cela par son rang social et sa
conception de l’autorité.
B- L’interrogatoire
de Maitre Hauchecorne :
Q : Quels antagonistes oppose cette scène et comment
les présente t-elle ?
R : La scène oppose un maire autoritaire supposé
instruit dans une position de supériorité à un paysan faible, analphabète et
pauvre.
Q : Que révèle le chef d’accusation annoncé par le
maire ?
R : Il révèle une dénonciation et raconte avec
précision les circonstances du « vol ».
Q : Que suggère la situation ?
R : La situation suggère un témoin visuel.
Q : Quels sentiments éprouve Maitre Hauchecorne face à
cette situation ?
R : Il se sent indigné, bafoué mais essaie de se défendre
devant un représentant de la loi et un ennemi.
Q : A-t-on pu retenir quelque chose contre Maitre
Hauchecorne ?
R : non on n’a pu rien retenir contre lui.
Q : Etait -il capable de prouver son innocence ?
R : Non il était incapable de prouver son innocence.
C- La réaction
des autres :
Q : Qui a poussé l’accusé à relater son histoire à ses
connaissances et même à des gens inconnus rencontrés sur son chemin ?
R : Ce qui a poussé l’accusé à réagir de la sorte sont :
l’incrédulité des paysans, leurs moqueries et leurs marques d’indignation.
Q : Cette attitude a-telle aidé Maitre Hauchecorne à
prouver son innocence ?
R : Malheureusement cette attitude n’a fait que
confirmer les soupçons des autres.
L’incrédulité du Maire
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L’incrédulité des paysans
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Mais le Maire incrédule :
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Vous ne me ferez pas
accroire…
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On ne le crut pas…
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Vieux malin va !
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On ne le crut pas
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Il ne rencontra que des
incrédules.
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