Structure du
« Dernier jour d’un condamné »
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Chapitres | 
                                   Événement
  principal | 
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1 | 
Le narrateur est à Bicêtre depuis 5 semaines de sa
  condamnation. Il compare sa d’autrefois à celle d’aujourd’hui.  | 
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2 | 
Le condamné à mort remémore son procès qui a eu lieu au
  mois d’août, l’avocat lui propose la perpétuité avec des galères mais il
  préfère 100 fois la mort. Une jeune fille prévoit l’exécution dans
  6semaines.    | 
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3 | 
Le narrateur se trouve une réconciliation : tout le
  monde est condamné à mort et certaines plus jeunes peuvent mourir avant lui
  mais malgré ça il trouve la mort horrible. | 
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4 | 
Le narrateur décrit Bicêtre le jour de son arrivée après
  la condamnation. | 
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5 | 
Le narrateur se rappelle ses premiers jours à
  Bicêtre : la douceur des geôliers, l’accueil des autres prisonniers.  | 
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6 | 
Le narrateur décide d’écrire le journal de ses souffrances
  dans l’espoir d’être un jour publié afin de pouvoir sauver d’autres têtes. | 
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7 | 
Le narrateur se trouve un but : contribuer à abolir
  la peine de mort. | 
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8 | 
Le narrateur compte les jours qui restent pour la réponse
  de son pourvoi en cassation, et décrit cette dernière procédure. | 
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9 | 
Le narrateur s’inquiète moins pour sa femme et sa mère que
  pour sa fille Marie. | 
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10 | 
Le narrateur décrit la vie pénible dans le cachot et la
  prison. | 
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11 | 
Ne pouvant s’endormir le narrateur, le narrateur lit les
  traces (graffitis) laissées par des condamnés à mort qui l’ont précédé :
  des rebelles politiques, des républicains mort pour leurs idées. Il a honte
  d’avoir commis un véritable crime.   | 
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12 | 
Le narrateur se rappelle les célèbres crimes commis par
  des noms célèbres inscrits sur les murs : il a des hallucinations. | 
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13 | 
Le narrateur assiste, par la fenêtre d’une autre cellule,
  au ferrage des forçats qu’on prépare pour le bail ; ils le voient,
  l’acclament et il s’évanouit.  | 
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14 | 
Après son évanouissement, il passe la nuit à l’infirmerie
  où il assiste au départ des forçats vers Toulon. | 
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15 | 
Le narrateur regrette de ne pas avoir pensé à s’évader
  dans l’infirmerie. Il se lamente de mourir jeune et robuste, et espère la
  grâce. | 
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16 | 
Le narrateur se souvient de la chanson d’une jeune fille
  de 15 ans, en argot dont le thème est le refus de la grâce. | 
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17 | 
Le narrateur rêve de s’évader et programme la journée de
  la liberté. | 
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18 | 
Le guichetier visite le condamné à mort à 6h du matin et
  le réveille doucement. | 
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19 | 
Le directeur, à son tour vient demander des nouvelles de
  la santé du condamné à mort. | 
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20 | 
Le narrateur décrit péjorativement la prison et le
  geôlier.  | 
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21 | 
A 6h45 le prêtre visite le condamné à mort. Le prêtre est
  suivi par l’huissier qui lui annonce le rejet de son pourvoi en cassation  et son exécution pour le jour
  même.   | 
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22 | 
Le narrateur quitte Bicêtre à 7h30 et arrive à la
  conciergerie à 8h30 : transfert   | 
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23 | 
Le narrateur rencontre un autre condamné à mort « le
  frioche » qui est le fils d’un condamné à mort. Il lui raconte sa vie de
  criminel depuis son enfance. Il lui prend sa redingote pour acheter du tabac. | 
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24 | 
Le narrateur est indigné par le comportement du frioche et
  se dit que la mort rend plus méchant. | 
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25 | 
Le narrateur demande de quoi écrire et reste sous la
  surveillance d’un gendarme. | 
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26 | 
A dix heures le narrateur s’inquiète de l’avenir
  humiliante qu’il va laisser à sa fille. Elle sera méprisée par la société. | 
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27 | 
Le narrateur pense à la guillotine dont le nom est
  effroyable.  | 
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28 | 
Le narrateur se souvient avoir entrevu une guillotine un
  jour à 11h : il se dit qu’ils sont entrain de l’agresser pour lui. | 
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30 | 
Le prêtre revient pour consoler le C.A.M mais sa présence
  est rejetée car le C.A.M le trouve indifférent.  | 
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31 | 
Un sous-architecte mesure la cellule du narrateur et lui
  fait remarquer qu’il ne profitera pas de la rénovation de la cellule. | 
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32 | 
Le premier gendarme est remplacé par un autre qui demande
  au narrateur de lui donner les numéros de la loterie, après sa mort. Il
  accepte en échange de l’uniforme mais le gendarme refuse. | 
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33 | 
Le narrateur se remémore son amie d’enfance Pepa devenue
  son premier amour Pepita.   | 
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34 | 
Le narrateur pense à sa liberté d’autrefois, il veut se
  repentir mais il n’y arrive pas.  | 
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35 | 
Le narrateur se dit que la vie continue surement sans lui. | 
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36 | 
Le narrateur se souvient qu’il a faillit tomber un jour du
  bourdon de Notre-Dame : Il a les mêmes sensations maintenant.  | 
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37 | 
Le narrateur décrit l’hôtel de ville : lieu sinistre
  et sombre surtout les jours d’exécution.  | 
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38 | 
Le narrateur décrit ses douleurs physiques. | 
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39 | 
Le narrateur se révolte contre l’idée selon laquelle la
  mort par la guillotine est indolore.  | 
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40 | 
Le narrateur compare sa situation à celle du roi, la
  foule, les acclamations… | 
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41 | 
Le narrateur fait une anticipation concernant la vie après
  la mort ; lumières ou ténèbres. | 
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42 | 
Le narrateur (s’est endormi pendant 1h) a rêvé d’une
  vieille femme dans son appartement qui a fini par le mordre. A son réveil, le
  prêtre lui annonce la visite de sa fille Marie. | 
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43 | 
Le narrateur reçoit la visite de sa fille Marie, mais
  celle-ci ne le reconnait pas et affirme que son père est mort. | 
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44 | 
Le narrateur pense à la mort, au bourreau, à la foule qui
  l’attend. | 
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45 | 
Le narrateur prévoit ce que fera la foule sur la place de
  Grève et se dit que d’autres têtes tomberont après lui. | 
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46 | 
Le narrateur tient à raconter son histoire à fille Marie
  pour lui expliquer pourquoi on l’a tué. | 
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47 | 
Une note de l’éditeur nous apprend que les feuilles n’ont
  pas été retrouvées ; l’histoire reste donc inachevée. | 
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48 | 
Le narrateur décrit son départ vers la place de Grève. A
  3h on est venu le prendre pour la toilette du C.A.M. Il traverse le pont au
  milieu de la foule. | 
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49 | 
Le narrateur demande sa grâce d’une manière obsessionnelle.
  Mais 4h sonne ; l’heure de l’exécution.  | 
 
Remarque, chapitre 48, tout en se trouvant à l'hôtel de Ville, le condamné fait un retour en arrière pour décrire son transfert de la Conciergerie à l'hôtel de.v. / la toilette du condamné se déroule à la conciergerie avant son transfert.
RépondreSupprimerLisez les premiers paragraphes du CH 48, corridors, escaliers cela renvoie à la conciergerie telle qu'elle a été décrite chapitre 22.
La charette ne peut le conduire de l'hôtel de ville à la lace de grève et fait tt un trajet ? Tt simplement, h.d.v donne sur la place de Grève.