vendredi 24 mai 2013

Expression écrite N° 2Le progrès téchnique






                          Production écrite : le texte argumentatif  
                                                  Le progrès technique 2
                               Faut-il condamner le progrès technique ?
    Avec les guerres, les nouvelles maladies, les armes de destruction massive, les menaces climatiques qui pèsent sur l’avenir de la planète, la confiance que les hommes mettaient dans le progrès depuis le 18e siècle, n’a cessé de décliner. Faut-il donc condamner le progrès ? Nous sommes enclins à le faire. De fait, qu’est-ce qui peut nous conduire, à l’heure actuelle, à accorder des circonstances atténuantes au progrès ?
     D’abord, nous sommes tellement habitués à nos biens de consommation, à notre confort, à la rapidité des déplacements et des communications que nous ne supporterions plus qu’on nous prive de tous ces bienfaits du progrès et qu’au contraire nous en demandons toujours plus.
     Ensuite, il est dans la nature de l’être humain, depuis l’âge de pierre jusqu’à nos jours, de développer la technologie pour découvrir mieux la terre et même l’univers, et d’approfondir ses connaissances, pour améliorer sa vie.
     Par conséquent, le mal vient du fait que les hommes n’ont pas su gérer le progrès. Plutôt que de le maudire, il faudrait réfléchir à des solutions. En effet, le devenir de notre planète doit nous inquiéter tous et nous pousser à nous mobiliser pour essayer de la sauver des conséquences du réchauffement climatique.
     Pour cela, il faudrait que toutes les nations s’engagent à réduire les effets négatifs des nouvelles technologies sur notre planète et ses habitants.
      Par ailleurs, il faudrait éduquer les nouvelles générations et leur montrer que chacun à son niveau peut œuvrer  pour un progrès maîtrisé. Trier les déchets, économiser l’eau et le chauffage, utiliser les transports en commun chaque fois que c’est possible… Cela peut être le prélude à un changement de comportement.
     En conclusion, nous sommes conscients que l’état de notre planète nous concerne tous, car il en va de l’avenir des futures générations. La réflexion est donc nécessaire.

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